👨👩👧👦 Frères et sœurs et LMBRD2 : Un guide réaliste pour les parents
Ce que vivent vraiment les frères et sœurs
La plupart des frères et sœurs d’enfants atteints de LMBRD2 ressentent un mélange d’émotions, qui peuvent changer d’un jour à l’autre, voire d’une heure à l’autre :
💔 Sentiments mêlés vis-à-vis de l’attention reçue :
« Je sais que ma sœur a besoin de plus d’aide, mais parfois j’aimerais juste qu’on me remarque aussi. »
😕 Confusion et frustration : Quand les plans sont annulés à la dernière minute à cause de problèmes médicaux ou quand les ressources familiales sont constamment orientées vers les thérapies.
😳 Gêne en public : Quand leur frère ou sœur se comporte différemment, ou lorsque des inconnus fixent du regard ou posent des questions.
👤 Maturité précoce inattendue : Beaucoup de frères et sœurs grandissent plus vite que leurs camarades, apprenant à être plus indépendants car les parents ont peu de disponibilité.
🛡️ Instincts protecteurs : Ils peuvent défendre leur frère ou sœur farouchement, même s’ils vivent en parallèle leurs propres émotions contradictoires.
La vérité sans filtre : témoignages de frères et sœurs
« Parfois, je déteste quand nous devons quitter le terrain de jeu parce que mon frère fait une crise. Ensuite, je me sens horrible d’être en colère contre lui, car je sais que ce n’est pas de sa faute. »
« Mes amis ont arrêté de m’inviter à des soirées pyjama parce que j’ai dû annuler trop souvent lorsque ma sœur était hospitalisée. C’est solitaire, mais je ne leur en veux pas. »
« Le pire, c’est quand mes parents se disputent à propos des frais de thérapie ou quand maman pleure après un mauvais rendez-vous chez le médecin. Je ne sais jamais quoi dire, alors je vais simplement dans ma chambre. »
⚠️ Signes d’alerte que vous pourriez manquer
Lorsque vous êtes profondément concentré sur votre enfant atteint de LMBRD2, il est facile de ne pas remarquer que ses frères et sœurs sont en difficulté :
- 🔶 Se comporter de manière « trop parfaite » ou devenir « l’enfant invisible » qui ne cause jamais de problèmes
- 🔶 Endosser des responsabilités d’adulte sans se plaindre
- 🔶 Changements soudains dans les amitiés ou les activités sociales
- 🔶 Baisse des notes — ou, à l’inverse, devenir obsédé par la réussite académique
- 🔶 Symptômes physiques avant les événements familiaux ou les rendez-vous de thérapie
- 🔶 Éviter d’amener des amis à la maison
- 🔶 Irritabilité ou sensibilité accrue qui semble disproportionnée par rapport aux situations
💬 Expliquer LMBRD2 : Des mots simples qui font mouche
Comment l’expliquer concrètement
Oubliez les conversations parfaitement préparées. Les explications les plus efficaces se font dans de petits moments, avec des mots simples qui rejoignent les enfants là où ils en sont.
🧸 Pour les jeunes enfants (3-6 ans)
Ils remarquent les différences concrètes mais n’ont pas besoin de détails médicaux :
- ✅ « Le cerveau de ton frère fonctionne différemment du tien, c’est pourquoi il utilise ces cartes spéciales pour nous dire ce qu’il veut. »
- ✅ « Parfois, il faut parler plus doucement, bouger plus lentement ou utiliser des mots plus simples pour que ta sœur puisse comprendre. »
- ✅ Lorsqu’ils demandent « Pourquoi il ne parle pas ? », une réponse simple comme « Son cerveau a du mal à envoyer des messages à sa bouche » suffit souvent.
📚 Pour les enfants d’âge scolaire (7-12 ans)
Ils peuvent comprendre davantage d’informations, mais bénéficient encore d’explications concrètes :
✅ « LMBRD2 est quelque chose avec lequel ton frère est né. Cela affecte le développement de son cerveau et rend certaines choses plus difficiles pour lui, comme parler ou comprendre ce que les gens disent. C’est pour cela qu’il suit toutes ces thérapies — c’est comme un entrainement spécial pour aider son cerveau à trouver d’autres façons de communiquer. »
✅ Lorsqu’ils posent des questions plus précises sur l’origine de la maladie, il est tout à fait approprié de répondre : « C’est un changement dans quelque chose qu’on appelle un gène. Tout le monde a des milliers de gènes, et parfois, l’un d’eux fonctionne différemment, ce qui modifie le développement du corps. »
🎧 Pour les adolescents
Ils sont prêts pour des informations plus complexes, mais préfèrent toujours un langage simple, sans jargon médical :
✅ « LMBRD2 est une maladie génétique rare qui affecte le développement et le fonctionnement du cerveau. On ne sait pas encore tout à son sujet car elle est très rare, mais on sait que ce n’est la faute de personne, que ce n’est pas contagieux, et que ta sœur aura besoin d’un soutien continu. Les thérapies aident, mais ce ne sont pas des guérisons — ce sont des outils pour l’aider à communiquer et à devenir aussi indépendante que possible. »
✅ Beaucoup d’adolescents apprécient d’être inclus dans certaines discussions médicales — non pas parce qu’ils doivent porter cette responsabilité, mais parce qu’ils ont besoin d’informations honnêtes plutôt que d’être tenus à l’écart de la réalité.
⚡ Quand les explications tournent mal
Soyons réalistes — ces conversations ne se passent pas toujours comme prévu :
- 🔸 Parfois, les enfants posent des questions auxquelles vous ne savez pas répondre
- 🔸 Parfois, ils semblent désintéressés lorsque vous essayez d’expliquer
- 🔸 Parfois, vous êtes tout simplement trop épuisé pour trouver les bons mots
When these situations happen:
- 🟢 L’honnêteté simple fonctionne : « Je ne connais pas la réponse, mais je peux essayer de la trouver. »
- 🟢 Reconnaitre que le moment n’est pas idéal : « C’est une question importante, mais je suis trop fatigué pour bien l’expliquer maintenant. Est-ce qu’on peut en parler demain ? »
- 🟢 Prendre en compte leurs besoins changeants : « Veux-tu que je t’explique un peu plus ou est-ce suffisant pour le moment ? »
❓ Gérer les questions difficiles
Les frères et sœurs posent parfois des questions délicates — souvent au pire moment. Voici quelques approches pratiques :
🩺 « Est-ce que mon frère va guérir ? »
Réalité : Cette question mérite une réponse honnête, sans faux espoirs.
💭 Réponse réaliste : « LMBRD2 n’est pas quelque chose qui disparaît, donc ton frère aura toujours certaines difficultés pour communiquer et apprendre. Il continuera à progresser et à se développer, mais à sa manière et à son propre rythme. Certaines choses deviendront plus faciles pour lui, mais il aura probablement toujours besoin d’un soutien supplémentaire. »
📅 « Pourquoi doit-on toujours organiser tout autour de ma sœur ? »
Réalité : Cette question traduit souvent une frustration légitime, pas de l’égoïsme.
💭 Réponse réaliste : « Tu as raison, et je comprends que ce soit frustrant. Les besoins de ta sœur influencent nos projets familiaux, et parfois, cela veut dire que tu dois renoncer à certaines choses que tu aimerais faire. Ce n’est pas juste, et c’est normal que tu sois en colère à ce sujet. Réfléchissons ensemble à quelque chose de spécial que tu aimerais faire, et je ferai de mon mieux pour que cela arrive. »
👵 « Est-ce que je devrai m’occuper de mon frère quand je serai grand(e) ? »
Réalité : C’est une inquiétude légitime qui mérite une réponse réfléchie.
💭 Réponse réaliste : « C’est une question à laquelle ton papa et moi réfléchissons déjà. Notre objectif est de mettre en place tout ce qu’il faut pour que ton frère soit aussi autonome que possible et puisse bénéficier d’une aide professionnelle à l’âge adulte. Tu pourras choisir de participer à sa vie et de l’aider parfois si tu en as envie, mais cela ne devrait pas devenir ta principale responsabilité. Nous préparons des plans à long terme pour que tu n’aies pas à t’en soucier plus tard. »
🧬 « Est-ce que tu es sûr(e) que je n’aurai pas LMBRD2 aussi ? »
Réalité : L’anxiété liée à la santé est fréquente chez les frères et sœurs et nécessite une réponse claire et rassurante.
💭 Réponse réaliste : « LMBRD2 est quelque chose avec lequel on naît — ce n’est pas quelque chose que l’on peut développer plus tard. Tu es né(e) sans cette condition, donc tu n’as pas à t’inquiéter de l’attraper. Mais c’est une maladie génétique, ce qui veut dire que, si un jour tu souhaites avoir des enfants, tu pourras en parler à un médecin. Cela reste très lointain, et la science médicale progresse tout le temps. »
⚖️ Trouver l’équilibre dans la vie de famille
La réalité du « temps spécial »
Soyons honnêtes : l’idée de planifier des moments parfaits en tête-à-tête avec chaque enfant semble idéale, mais elle est presque impossible à maintenir de façon régulière. Voici ce qui fonctionne dans les familles réelles :
- 🔷 Les micro-moments comptent : Parfois, le « temps spécial » se résume à 10 minutes seul(e) en voiture, une course rapide au magasin ou quelques instants assis sur le porche après que tout le monde soit couché.
- 🔷 Impliquer les frères et sœurs dans les activités nécessaires : Si vous devez emmener votre enfant atteint de LMBRD2 à une séance de thérapie, emmenez parfois son frère ou sa sœur pour une glace après, pendant que l’autre parent reste avec l’enfant LMBRD2.
- 🔷 Soyez impitoyablement honnête avec votre agenda : Lorsque vous planifiez les thérapies, les rendez-vous médicaux et le travail, bloquez aussi du temps pour vos autres enfants — même si ce n’est que 20 minutes d’attention exclusive.
- 🔷 Revoyez vos attentes à la baisse : Parfois, le « temps de qualité » consiste simplement à plier le linge ensemble ou à préparer le dîner en discutant de leur journée.
- 🔷 Expliquez la réalité : « Je sais que j’ai dû annuler nos plans hier parce que ton frère a eu une journée difficile. J’étais déçu(e) aussi. Je ne peux pas promettre que cela n’arrivera plus, mais je peux te promettre que je continuerai d’essayer. »
🚫 Créer des Limites Raisonnables
Même s’il n’est pas toujours possible de protéger totalement les frères et sœurs de la réalité du LMBRD2, certaines limites peuvent être mises en place :
- 🔶 Limiter les conversations médicales à table :
« Faisons une pause avec les discussions sur les thérapies pendant le dîner et écoutons ce que chacun a à raconter sur sa journée. » - 🔶 Créer des espaces physiques : Même un simple coin personnel dans une chambre partagée peut offrir un refuge nécessaire au frère ou à la sœur.
- 🔶 Filtrer l’information avec discernement : Les frères et sœurs n’ont pas besoin de connaitre tous les détails médicaux ou financiers, même s’ils semblent assez mûrs pour les entendre.
- 🔶 Éviter que la thérapie prenne toute la place : Essayez d’organiser des activités familiales juste pour le plaisir et la connexion, sans qu’elles se transforment en séances de thérapie déguisées.
🤝 Impliquer les frères et sœurs sans les surcharger
Une participation équilibrée
Les frères et sœurs souhaitent souvent aider leur frère ou sœur en situation de handicap, mais ils ne doivent pas se sentir responsables de leurs progrès.
✅ À FAIRE :
- Leur laisser le choix du comment et quand ils souhaitent aider
- Leur enseigner des gestes simples qu’ils peuvent utiliser pendant les jeux
- Montrer de la reconnaissance pour chaque effort qu’ils font
- Leur permettre de refuser d’aider sans les culpabiliser
❌ À ÉVITER:
- Les faire se sentir comme de petits thérapeutes
- Attendre d’eux qu’ils soient toujours patients et compréhensifs
- Comparer leurs capacités aux difficultés de leur frère ou sœur
- Compter sur eux pour des responsabilités importantes de soins
🎯 Activités qui fonctionnent dans la vraie vie
Trouver des activités qui plaisent à toute la famille demande souvent des essais et des ajustements. Voici celles qui marchent souvent bien :
- 💦 Jeux d’eau : Piscine, arroseur ou même simplement le bain
- 🎵 Musique : Mini boum dans le salon ou instruments simples accessibles à tous 🌿 Nature : Balade dans un parc ou simplement être ensemble dehors
- 🎬 Films : Avec un coin cosy et des snacks que tout le monde aime
- 🚗 Balades en voiture : Parfois, juste être ensemble en route vers quelque part suffit à créer un bon moment
L’essentiel est de choisir des activités aux attentes naturellement flexibles, où les différences de capacités ne sont pas mises en avant.
👥 Soutenir leur vie sociale
Apprendre à gérer les amitiés
Les frères et sœurs ont parfois du mal à inviter des amis à la maison :
🔹 Les préparer avec des phrases simples : « Tu peux dire à tes amis que ton frère communique avec des images au lieu des mots, si on te pose la question. »
🔹 S’exercer à répondre aux questions : « Parfois, on me demande pourquoi ma sœur fait certains mouvements. Je dis simplement que ça l’aide à se sentir bien dans son corps. »
🔹 Créer des moments favorables : Inviter des amis quand l’enfant LMBRD2 passe une bonne journée ou quand un adulte peut se consacrer à lui.
🔹 Reconnaitre les difficultés : « Je sais que c’est dur quand tu veux inviter des amis et que ton frère passe une mauvaise journée. C’est frustrant, et ce n’est pas de ta faute. »
🏫 Défis à l’école
Les frères et sœurs peuvent rencontrer des situations sociales complexes :
- 🔺 Ils peuvent être la cible de questions blessantes ou de moqueries
- 🔺 Ils peuvent se sentir obligés d’expliquer la situation de leur frère ou sœur
- 🔺 Ils s’inquiètent souvent que leur frère ou sœur soit mal traité par les autres
- 🔺 Ils peuvent choisir de cacher la situation pour éviter les regards ou jugements
🎒 Pour les aider à s’y retrouver, pensez à :
- 🟩 Avoir des discussions régulières sur ce qu’il se passe à l’école
- 🟩 Faire des jeux de rôle pour préparer certaines situations
- 🟩 Leur donner le droit de garder privée l’histoire familiale s’ils le souhaitent
- 🟩 Informer les enseignants lorsque c’est pertinent
🧠 Quand un soutien professionnel devient nécessaire
Reconnaître le point de rupture
Parfois, le soutien familial ne suffit plus, et un accompagnement professionnel est indispensable. Soyez attentif à ces signes :
- 🚩 Changements marqués de personnalité ou de comportement qui durent plusieurs semaines
- 🚩 Propos exprimant un sentiment de désespoir ou d’inutilité
- 🚩 Isolement social ou retrait des interactions
- 🚩 Baisse scolaire persistante malgré les efforts
- 🚩 Symptômes physiques récurrents (maux de tête, de ventre…)
- 🚩 Troubles du sommeil ou cauchemars fréquents
- 🚩 Comportements agressifs ou destructeurs
- 🚩 Toute mention d’automutilation ou d’envie de “disparaître”
🔍 Trouver un soutien vraiment adapté
Tous les professionnels de la santé mentale ne sont pas formés aux défis spécifiques des fratries d’enfants avec un handicap. Recherchez :
- 🔶 Des thérapeutes ayant de l’expérience avec les familles concernées par une maladie chronique ou un handicap
- 🔶 Des groupes de soutien dédiés aux frères et sœurs d’enfants à besoins spécifiques
- 🔶 Des psychologues ou conseillers scolaires pouvant assurer un suivi régulier
- 🔶 Des solutions en ligne si les ressources locales sont limitées
📝 Un témoignage réaliste
“On pensait que tout allait bien jusqu’à ce que le professeur de notre fils appelle pour dire qu’il faisait des crises de colère à l’école. À la maison, c’était l’enfant parfait, jamais une plainte.
On a trouvé un thérapeute spécialisé dans les fratries, et ce n’a pas été une solution miracle. Il a fallu plusieurs mois de séances hebdomadaires avant qu’il puisse mettre des mots sur sa colère et sa culpabilité. Le thérapeute nous a aidés à avoir des attentes plus réalistes et a appris à notre fils qu’il était normal d’avoir des sentiments négatifs.
Il y a encore des jours difficiles, mais il sait maintenant exprimer ses besoins au lieu de tout garder en lui. La communication dans notre famille est plus honnête, ce qui aide tout le monde.” — Parent d’un enfant atteint de la mutation LMBRD2
💡 Conclusion : Une réalité complexe
Être le frère ou la sœur d’un enfant atteint de LMBRD2, c’est vivre une expérience unique et exigeante. Il y aura des tensions, des ajustements constants, et des journées difficiles. Mais il y aura aussi des moments de lien profond, de compassion inattendue et d’amour renforcé par ces défis partagés.
Le but n’est pas d’offrir une enfance parfaite aux frères et sœurs — cela n’existe pour aucun enfant.
Le but est de reconnaître leur réalité, de valider leurs émotions (positives comme négatives), et de les aider à développer la résilience et la communication nécessaires pour s’épanouir dans une situation familiale atypique.
Rappelez-vous : vous faites de votre mieux, avec les ressources, le temps et l’énergie dont vous disposez. Certains jours, vous répondrez pleinement aux besoins de chacun, et d’autres, vous passerez à côté.
Ce n’est pas un échec — c’est la réalité d’être parent dans un contexte difficile.
📚 Ressources vraiment utiles
🔄 Groupes de soutien à envisager
- 🔹 Sibshops : Ateliers spécialement conçus pour les frères et sœurs d’enfants à besoins particuliers (présents dans de nombreux pays)
- 🔹 Forums en ligne : Espaces modérés où les adolescents peuvent échanger avec d’autres jeunes concernés
- 🔹 Réseau familles LMBRD2 : Pour échanger avec d’autres familles vivant cette réalité
- 🔹 Associations locales sur les maladies rares : Beaucoup proposent des programmes spécifiques pour les frères et sœurs
📖 Livres qui ne minimisent pas les réalités
Pour les jeunes enfants :
- 🔸 Mon frère Charlie – Holly Robinson Peete & Ryan Elizabeth Peete
- 🔸 Nous peindrons la pieuvre en rouge – Stephanie Stuve-Bodeen
Pour les enfants d’âge scolaire :
- 🔸 Regards croisés : grandir avec un frère ou une sœur différent(e) – Donald Meyer (éditeur)
- 🔸 Règles – Cynthia Lord (roman sur une fille dont le frère est autiste)
Pour les adolescents et les parents :
- 🔸 L’enfant “normal” : vivre avec un frère ou une sœur difficile ou en difficulté – Jeanne Safer
- 🔸 Être l’autre : grandir aux côtés d’un frère ou d’une sœur à besoins particuliers – Kate Strohm
👨⚕️ Services professionnels à envisager
Si vous recherchez un soutien professionnel, envisagez :
- 🔹 Thérapeutes familiaux : Spécialisés dans les situations de handicap ou de maladie chronique
- 🔹 Conseillers scolaires : Pour offrir un espace neutre et sécurisé d’expression
- 🔹 Services de répit : Offrir à chacun un moment de pause bienvenu
- 🔹 Coordinateurs de parcours / travailleurs sociaux : Pour centraliser les aides disponibles, y compris pour les frères et sœurs
Souvenez-vous : Il n’existe pas de manuel pour élever une famille affectée par une maladie rare comme le LMBRD2. Vous écrivez ce livre jour après jour, faisant de votre mieux avec les informations et les ressources disponibles. Soyez indulgent envers vous-même et tous vos enfants pendant que vous naviguez ensemble dans ce voyage.